Love Story - Critique de Film, Théatre, série...

Love Story

Alors que la société se disloque, on recherche la nostalgie d'une époque ; où les Beatles et les Stones , nous enchantaient même en automne . C'est vrai que le parfum des fleurs , avait alors une autre odeur : et que la pollution des villes , était beaucoup moins hostille. On profitait des grands espaces, l'herbe était verte sur les grandes places : et les roses apportaient tant  de bonheur, quand les grillons chantaient en choeur. On savait alors faire la cour, papillons bleus, mots de velours ; et le sourire des demoiselles , était comme l'azur du ciel. On apprenait à se connaître, avant de se toucher les lèvres, et la vie jadis si sensuelle, nous emportait vers le soleil. En partageant ses sentiments,  on se mariait un beau jour en blanc : sous l'oeil parfois austère, d'un incorrigible Beau-père : mais qu'on était heureux ma mère, malgré les dimanches de prières. Unis pour le pire et le meilleur, on respirait le bonheur : et ces années oxygénées, soufflent encore sur les chants de blés : qui ont émerveillé notre jeunesse, d'une si pure et belle tendresse.

Film à revoir, avec l'espoir : de retrouver un beau jour, toute la douceur de l'amour.