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La nature, sa verdure et ses ble... - Coup de gueule

Coup de gueule "La nature, sa verdure et ses blessures" est un coup de gueule mis en ligne par "Lucky3"..

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La nature, sa verdure et ses blessures

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La nature jetée en pâture?

Il n'y a pas que les hommes, qui sont en colère, il y a aussi la nature qui se fout en colère, pour montrer qu'elle n'en peut plus d'être maltraitée par les hommes cupides, qui sont stupides.

Les arbres communiquent entre eux pour se soutenir mutuellement, de manière discrète et imperceptible pour l'être humain.

L'arbre en danger se défend en modifiant la composition chimique de ses feuilles. Les Indiens d’Amérique disent que les arbres se parlent.

Ce sont nos plus vieux et nos plus fidèles amis, pouvons-nous avoir de temps en temps un sentiment d'affection pour eux?

La nature, c'est sacré et il est impératif de la respecter sans la souiller!

Les gens se libèrent de leurs émotions négatives, en parcourant la forêt, car la forêt transmet des vibrations positives. C'est une manière de se débarrasser des poids sur le cœur, qui nous entravent. On revient de balade, avec le cœur plus léger.

Les arbres ne parlent pas, mais le monde imaginaire du film "Le Seigneur des Anneaux", nous donne l'opportunité de voir les arbres s'exprimer, ou plutôt des esprits de la forêt, des êtres de fiction, les "Ents", qui ont l'apparence des arbres et qui marchent à grandes enjambées!

Mais leur démarche est lente, et ils sont lents de tempérament.

Ils ont leur propre langage, dans leur monde de fiction, comme les arbres réels ont aussi le leur qui est invisible mais qui existe.

La solidarité fait partie de leurs principes .

La solidarité devrait être un principe pour nous aussi.

La nature reprends du "poil de la bête", si j'ose dire, elle respire aussi le renouveau et la tranquillité, lorsque, en me baladant, je remarque les rouleaux de foin, dans des champs immenses, fraîchement mis en forme par la presse à balles rondes qui conditionne les andains sous forme de bottes cylindriques. Ils ont l'air fiers. Ceux-ci, comme figés, donnent des couleurs au paysage. J’ai remarqué, en vadrouillant, en marchant dans la campagne, tout en rêvassant, la belle couleur dorée des bottes de paille, qui me fais songer à celle de l'or.

Tout en me promenant, je me suis fais ce petit discours à moi-même, mentalement : « Les produits chimiques esquintent, détériorent les sols et leur commerce remplit le porte-monnaie des fabricants de ces produits biocides, qui risquent de mettre en péril la santé de la planète à long terme.

En ce qui concerne les fabricants de produits phytosanitaires, et de produits chimique , il n’y a pas d’obligation immédiate de cesser de les fabriquer, comme le célèbre glyphosate, qui contamine durablement les sols. Les lobbies font pression, l’entreprise qui le fabrique élabore une stratégie de fort lobby pour retarder l’interdiction définitive de ce produit chimique fabriqué par cette firme d’agrochimie.

Il faut rattraper coûte que coûte le temps perdu en favorisant l'agriculture durable et biologique.

Aujourd'hui, on doit réduire les intrants chimiques dans l’agriculture. C’est le défi de l'agriculture raisonnée et, à plus forte raison, de l'agriculture biologique.

Il n'y a que de cette manière que l'on restera cohérent et que les gens resteront en bonne santé, plutôt que de payer les pots cassés. Cela reviendra plus cher de réparer les erreurs dues à la cupidité humaine, que si l'on consommait plus sain et que si l'on jetait moins en favorisant le recyclage! Mais cela évidemment, les laboratoires pharmaceutiques s'en contrefichent, car, eux, ce qui les intéresse, c’est de continuer à s'enrichir en fabriquant des médicaments chimiques, qui sont censés soigner les gens de plus en plus malades à cause de la forte dégradation de notre qualité de vie et de la forte baisse de la qualité nutritive des aliments modernes. On marche sur la tête, nous sommes à côté de la plaque, et nous sommes inconscient dans notre façon de consommer des produits industriels, et des plats préparés, en favorisant les pratiques peu respectueuses de l'environnement. En consommant local, et en favorisant les circuits courts, cela enrichira les petits producteurs, et les actionnaires feront moins de bénéfices, à mon avis !

Réactionnaire ou actionnaire? Moi, je préfère rester révolutionnaire dans l'âme.

Mais, il est vrai que c’est trop facile de faire de l’agribashing, terme qui signifie la critique du mode de production agricole conventionnel, car les agriculteurs nous permettent de nous nourrir, ils nourissent la planète, en produisant des céréales et d’autres végétaux. La notion d’agribashing est apparue en 2016.

Les paysans, les agriculteurs, sont plus proches de la nature que les citadins.

[{Digression, ou plutôt ressenti lors d'une balade: J’aime flâner dans la campagne en scrutant un tracteur, conduit par un agriculteur qui est aux manettes et ayant l’air motivé, fier, tout en restant concentré sur son travail. Son engin, très imposant tracte derrière lui un déchaumeur qui enfouit les chaumes après la moisson mais qui attire une nuée de goélands, tournoyant au-dessus du champ, et très mobiles. Ils viennent becqueter gaiement, l’air insouciant, et sans se poser des questions existentielles, les vers de terre. Le tracteur laisse sur son passage un panache de fumée brunâtre crée par le déchaumeur. La poussière suit le tracteur qui en impose par ses dimensions. La nature est belle mais le labeur est dur. En tous cas, le travail de l’agriculteur force le respect.}

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Nous devons renouer avec la nature , pour mieux avoir envie de la respecter, car nous nous sommes trop éloignés d’elle.

Les initiatives naissent un peu partout à travers la planète, comme un instinct de survie, pour pouvoir laisser aux générations futures une planète encore habitable !

Le Coronavirus, c'est "l'arbre qui cache la forêt ", car on détourne volontairement l'attention des gens, et pendant ce temps, les géants l'agroalimentaire continuent dicter leur lois, (du marché). La majorité des agriculteurs obéissent et continuent de se conformer au modèle productiviste, et acceptent malgré tout de répandre encore et encore, - et Dieu seul sait jusqu'à quand, - des tonnes et des tonnes de pesticides dans les champs, destinés à détruire la qualité nutritive des céréales plutôt qu'à la préserver!

Certes, il ne faut pas se complaire dans la médiocrité, ni sombrer dans la négativité, par contre, il faut être acteur et agir à son échelle, même si ce sont des petites actions positives qui paraissent anodines, quotidiennement, et ne pas rester passif, résigné et spectateur. Le colibri agit à son échelle mais agit quand même.

Il retourne à la rivière prendre une autre goutte d’eau dans son bec, la jette sur l’arbre et retourne encore à la rivière inlassablement, prend une goutte d’eau dans son bec et la dépose sur l’arbre pour éteindre l’incendie, selon la légende du colibri (conte amérindien). La morale de ce conte est que chacun d’entre nous dois faire sa part.

Pareillement, notre inconscience fait que les industries continuent à produire énormément d’objets en plastique qui se retrouvent inévitablement dans la nature, car beaucoup de plastique n’est pas recyclé.

Il se retrouve jusque dans les océans et la mer, et dans l’organisme des poissons.

IL faut à tout prix trouver des solutions pour préserver le milieu marin et tous les poissons.

Selon un proverbe "Mandchou", « Le poisson ne voit pas l'hameçon, il ne voit que l'appât. L'homme ne voit pas le péril, il ne voit que le profit. »

Le poisson doit pouvoir être consommé sans crainte pour notre propre santé, et avec modération, en préservant la nature.

Il faut rester indigné, sans trop se conformer aux opinions de la majorité des gens, je veux faire allusion à ceux qui "ménagent la chèvre et le chou", qui ne prennent pas position entre deux partis adverses. Les critiques outrancières du système produisent peu de résultats positifs aussi.

Les élites qui dirigent le pays traînent des pieds et manquent parfois de courage politique. Certains dirigeants et hauts fonctionnaires sont nés avec "une cuillère d’argent dans la bouche", et sont déconnectés des réalités du quotidien de la « France d’en bas » qui souffre en silence.

Sortir la boîte à gifles, ce n’est pas la solution la plus sensée, la plus judicieuse. On peut aussi s’énerver à la manière de Raoul VOLFONI, (joué par l’acteur Bernard Blier), dans le film « Les Tontons Flingueurs », et qui dit, je cite « Moi, quand on m’en fait trop, je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile ! »

Le mieux que l’on puisse faire, c’est de s’unir pour ne pas tomber dans le panneau. Je fais le rêve d’un monde qui serait exempt de manipulation de masse, comme celle qui consiste à créer des problèmes, puis offrir des solutions, ou celle de la manipulation de masse avec la stratégie de la dégradation, ou encore la stratégie de la distraction ou de détournement de l’attention. Il faut donner au peuple « du pain et des jeux », pour avoir la paix sociale.

Bon vent et soyons forts dans les mauvais comme dans les bons moments, continuons à nous battre quotidiennement sans céder aux sirènes de l'argent facile.

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** michelduchaine.com/2013/07/25/legende-amerindiennele-colibri/
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citations.ouest-france.fr/citation-proverbe-mandchou/poisson-voit-hamecon-voit-appat-125806.html

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Lucky3

26-07-2020

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La nature, sa verdure et ses blessures n'appartient à aucun recueil

 

Coup de gueule terminé ! Merci à Lucky3.

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