Kartal, les origines - Histoire Courte

KARTAL, les origines

A l'origine n'étaient que les dieux...

Des milliards et des milliards de dieux !

Chancun d'entre eux devaient prouver leur puissance au Ghoha, le dieu de tout les dieux, l'être le plus puissant, et pour se faire ils devaient créer un monde.

Si certains le créait seul, d'autres préféraient s'unir.

Sept d'entre eux dessidèrent d'unir leur force pour créer leur propre univers, ces dieux se nommaient:

Phaevi,

Aeno,

Thieves,

Touari,

Hocta,

Chaot et

Apikel.

Phaevi créa la terre, le flore et l'eau.

C'est le dieu de la nature et de la simplicité.

Aeno trouva ce monde trop simple et y ajouta des animaux. Il créa un cycle où chaque animal et plante avait sa place.

C'est le dieu de la faune et des cycles, on l'appel souvent le dieu cyclique.

Thieves voulut créer des créatures à leur image, alors il créa les hommes.

C'est le dieu de l'humanité et de l'égo.

Touari, pour renouveler la planète créa les genres et la reproduction.

C'est le dieu de la sexualité de la naissance et de la binarité.

Hocta trouva les habitants de ce nouveau monde trop fade et créa les sentiments.

C'est le dieu des émotions.

Chaot se dit que la terre serait bientôt surchargé, alors il créa la mort.

Cependant, il ne voulait pas faire disparaître complètement les êtres qui avaient foulés cette terre et fit en sorte que leur esprit continuerait à vivre pour l'éternité dans un autre plan d'existance.

C'est le dieu des morts, des funérailles.

Ces six créateurs appelèrent leur oeuvre le naturel.

Cependant, Apikel, le septième créateur, en désaccord avec les autres les défia et créa le surnaturel.

Le surnaturel est une énergie complexe et puissante qui peut contrer le naturel.

Les hommes l'appel magie ou psyché.

Il inclua cette énergie dans tout leur univers et la mit en toute chose.

Après cet affrond, les autres créateurs voulurent faire disparaître Apikel.

Celui-ci s'enfuit et se cacha sur terre.

Les créateurs du naturel l'ont longtemps cherché, en vain.

Ils dessidèrent alors de détruire l'énergie magique, mais cette énergie était tellement puissante et complexe qu'ils ne purent y arriver.

Seul Apikel connaissait réellement le secret de son énergie, seul Apikel la comprenait et donc pouvait la détruire.

Juste avant de fuir, ses derniers mots furent:

"Vous ! créateurs du naturel ! Un jour viendra où mon énergie, ma création vous anéantira ! Vous avez voulut me détruire ? Ma colère vous consumera !"

Les hommes appel cet épisode, le conflit originel.

Kartal; le grand sang

Lorsque les créateurs ont créés le monde de Kartal, il n'y avait qu'un seul continent. Une seule énorme île.

Ce continent s'est vite divisé en deux Etats.

Ymirhau et Hebos.

Ces deux Etats avaient des principes très différents.

Pour les hebossiens, il vaut mieux mourir en se battant que perdre son temps en discussion inutile.

La loi du plus fort règne en Hebos.

Cependant, pour eux, l'honneur est la valeur la plus importante.

Ceux qui perdent leur honneur sont plus bas dans l'échelle sociale que les mendiants !

Les hebossiens ont une hierarchie impitoyable !

La noblesse et le peuple ne se mélange en aucun cas, et il est impossible pour un membre de la plèbe de rentrer dans la noblesse. C'est ainsi et pas autrement.

Le roi ou la reine a le pouvoir absolut. Il contrôle tout et lui désobéir est punissable de mort !

Il n'a pas de conseiller, seulement des représentants.

De l'autre côté, les ymirhautes sont des gens raffinés, qui aiment la beauté et la distinction !

Ils prônent la discussion avant l'affrontement.

Leur hierarchie est un peu moins stricte et un membre du peuple peu entrer dans la noblesse s'il a fait une action qui le mérite.

Le roi d'Ymirhau est entouré de conseiller qui l'aide au bon fonctionnement du royaume.

Cependant, si en surface Ymirhau à l'air d'être un royaume équilibré et juste, il cache en vérité une société de corruption.

Tout est bon pour prendre du profit et le mensonge et les meurtres sont monnaies courante.

Les deux royaumes se sont regardé en chien de faillance pendant des années et des années.

Leur pseudo paix ne tenait qu'à un fil...

Comme cela devait arriver, sous le règne de Lisao d'Ymirhau et de Seth d'Hebos, la guerre éclata.

Aujourd'hui, nous avons oublié pourquoi elle a commencé.

Cette guerre dura 300 ans, les historiens l'ont appelé, le grand sang.

Ils enchaînaient bataille sur bataille, alternaient victoire et défaite, mais jamais ils ne stopèrent les hostilités.

Ce fut les trois siècles les plus sanglant que ce monde n'avait jamais connu !

Les villages étaient pillés, les enfants assassinés, les fermes brûlés.

Les soldats tombaient comme des mouches sur le champ de bataille.

Les deux Etats étaient à feu et à sang, mais pour autant, leur haîne continuaient à brûler leur coeur sans jamais s'éteindre.

Après 300 ans de massacre, trois mages, trois frères tentèrent de faire stoper la guerre.

Ces mages se nommaient: Elio, Zhair et Althorne Thérion.

Ils essayèrent de parlementer, mais la guerre durait depuis trop longtemps, et les mots ne pouvaient plus l'arrêter.

Alors ils se rendirent à la frontière des deux Etats.

Ils déferlèrent une puissance phénoménale ! La terre se mit à se fissurer créant un énorme tremblement ! Une onde magique se propagea partout sur les deux royaumes et le continent se divisa en deux

La puissance magique utilisé était telle, que les frères Thérion ne purent y survivre.

C'est cet évènement qui fit stoper la guerre.

Les deux royaumes, maintenant séparé par un océan se contentère de s'ignorer pendant des années.

Bientôt, quelques marchands finirent par prendre la mer pour essayer de vendre leur produit dans l'autre continent et petit à petit, les échanges commerciaux reprirent.

Les Ymirhautes firent tomber leur roi et fondèrent un conseil.

Les hebossiens quant à eux, engagèrent des conseillers.

La vie reprit tant bien que mal son cour.

Les mages Thérion furent considéré comme les mages les plus puissants de Kartal, et on les honora comme étant les messagers de la paix.

Cependant, bien que la paix fut obtenu, nous n'étions pas à l'abris d'une nouvelle guerre...

d'après les chroniques de Kartal