Indy (Vincent) Le 27-08-2015 à 14:46
Je suis d'accord avec le message, mais quel contraste entre la douceur de ses poèmes envers les femmes et ses relations tumultueuses et très violentes avec elles. Je ne connais pas encore très bien sa vie mais il me semble avoir lu qu'il aurait même essayé de tuer sa mère, sans vouloir tomber dans la psychologie de comptoir peut-être a t-il certains manques! Merci pour ce partage!
Sydow Le 06-07-2014 à 11:18
C'est un poème que j'aime beaucoup aussi. Oui, il semble que ce soit le message que le poète passe ici. Verlaine n'a cessé de regretter de n'avoir pas eu de grande soeur. Il aimait apparemment beaucoup l'idée d'une femme douce, réconfortante qui soit là pour lui. Il évoque cette femme importante dans divers poèmes, notamment dans " A une femme " que j'ai publié peu avant, où il s'adresse en quelque sorte à la soeur fictive qu'il s'était imaginé. :)
A quai (Jeanne) Le 06-07-2014 à 11:05
J'aime beaucoup. La femme amoureuse peut être parfois maîtresse, parfois soeur, parfois mère... merci pour cette découverte
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Dauphinelle Le 28-02-2022 à 9:07
'Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses !' ... L'inconnu suprême des premiers instants de la rencontre amoureuse... quintessence de la complexion humaine... et au sein de la douceur des gestes carcéraux de la maîtresse, cette jubilation de la liberté grande !...