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Parerga et Paralipomena - Commentaires

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Noureddine

Noureddine Le 15-10-2022 à 14:13

Je ne pense pas que le besoin de société naisse impérativement du vide et de la montonie de notre moi intérieur individuel, car si tel était le cas on deviendrait plutôt des sociopathes, des misanthropes. Pourtant, la condition de bonnes moeurs préconisée par le philosophe est une sorte d'incontournables balises que l'on s'érige les uns par rapport aux autres afin de préserver notre intégrité physique et morale dans le monde des êtres et des choses

Paulette Pairoy-Dupré

Paulette Pairoy-Dupré Le 28-02-2021 à 20:36

Ah, philo, quand tu nous tiens ! Un texte fort intéressant ! En cette période de pandémie, il serait intéressant de recueillir les avis sur la bonne distance pour vivre ensemble en se respectant, avec les bonnes manières sanitaires. Merci de nous avoir transmis ce texte

Vincent

Vincent Le 02-06-2013 à 0:07

J'aime ce philosophe, merci d'être passée !

Aoi

Aoi Le 08-04-2013 à 16:30

Je ne connais pas ce philosophe, mais en tout cas, ça me donne envie de lire ses ouvrages. Merci pour ta chronique!

Vincent

Vincent Le 13-03-2013 à 19:12

Emma, je connais aussi Freud pour avoir étudié l'inconscient, bien sûr. Et le fait de rappeler l'allégorie de la caverne, c'est une bonne idée en effet. La manière de raconter et de transmettre un message est aussi habile. Merci pour ton passage ici !

Emmalys

Emmalys Le 12-03-2013 à 13:34

Woaw, Schopenhauer, rien que ça ! Il commence à être loin, le temps où j'ai entendu parler de lui pour la dernière fois. Moi,j'avais lu Freud et sa théorie sur l'Hystérie féminine mais c'était quand même moins bien expliqué,plus sérieux et pragmatique. Je préfère les explications de Shopenhauer, qui me rappelle un peu Platon et son allégorie de la caverne. Pas le même sujet mais la même manière d'exposer sa théorie. Cela dit, je pense que la bonne distance, chacun la trouve après s'être trop frotté au voisin ou au contraire trop éloigné. Certains n'aiment pas être collés quand d'autres n'en sont pas dérangés,question de point de vue je pense et peut-être aussi de tempérament. Bon, on l'aura compris, je ne suis pas pour les généralités.:-) Merci pour ce partage très intéressant, Vincent.

Vincent

Vincent Le 11-03-2013 à 22:48

Merci Carole pour la trace que tu as laissée, foisonnant de citations que je connais en plus. Elles enrichissent la réflexion, c'est agréable. Et oui, trouver la bonne distance n'est pas une mince affaire... Encore merci !

Carole Saupin

Carole Saupin Le 09-03-2013 à 13:32

Ah la philo! Si nous en avions un peu plus dans notre quotidien si pressé, nous serions sans doute plus zen!
Concernant la vie "en communauté" et à la lecture de l'extrait, quelques répliques me viennent... 'L'enfer c'est les autres" (Sartre)
Ma liberté s'arrête là où commence celle d'autrui... et pourtant...un seul être vous manque et tout est dépeuplé! En tout cas, je suis bien d'accord avec toi: trouver le juste équilibre est essentiel pour vivre en communauté et rester en accord avec soi-même... Mais cela est bien difficile.

Vincent

Vincent Le 09-03-2013 à 10:36

Merci Lei'n pour ton commentaire. Trouver le juste équilibre est loin d'être facile je pense et je trouve que tu as raison de dire que la distance est propre à tous. Chaque personne est différente et il est probable que la distance est relative, en fonction des relations. Et je suis à peu près dans le même cas que toi en général. Merci Lei'n d'avoir lu !

Lei'n

Lei'n Le 09-03-2013 à 0:26

Je suis d'accord avec toi, je trouve ça très intéressant. Il y a ici l'aspect paradoxal du désir humain, partagé entre son désir d'autonomie et son besoin d'autrui. Mais je pense également que cette distance est propre à tous. Certaines personnes ont besoin de plus d'autonomie et d'indépendance, d'autres de "chaleur". Mais pour trouver le juste milieu, je trouve ça vraiment délicat.
J'ai l'impression qu'il y a une sorte de "norme" ( un peu comme tout) et lorsqu'on ne se trouve pas sur cette ligne, les deux pieds dessus, on paraît soit " trop amical" voire "collant", soit asocial. Je me placerais dans le 2ème cas ( on dit que je suis plutôt très indépendante).
Mais il est indéniable que l'homme a besoin d'autrui. Mais dans la mesure où les relations humaines, rien n'est facile , il faut forcément faire face à des compromis. Peu importe l'équilibre que certains jugent " correct", il sera forcément déséquilibré vu la diversité de personnalité chez l'homme.

Vincent

Vincent Le 07-03-2013 à 19:08

Oui, c'est clair, vu l'importance de la matière au bac, pas question de négliger la philo ! Je suis ravi que cette découverte te plaise Héléna, merci d'être venue lire !

Falidjana

Falidjana Le 07-03-2013 à 17:04

Ah, un petit peu de philo ! Tu as raison, ce n'est pas parce que c'est les vacances qu'il faut laisser ça de côté ! J'aime beaucoup l'extrait en tout cas, je ne savais pas que cet auteur pouvait se lancer dans le porc-épic... Original tout ça ! C'est une belle découverte, merci de ce partage Vincent :)

Vincent

Vincent Le 07-03-2013 à 10:06

>> Marjoline : Oui, je suis du même avis que toi. Je trouve que Schopenhauer est un grand philosophe, ses textes me parlent beaucoup, je te remercie d'avoir laissé une trace.
>> Jenny : Merci à toi aussi, je pense que le temps de trouver où se situe la frontière comme tu le dis, c'est ce qui constitue l'expérience. La distance se dessine et se précise au fur et à mesure de l'expérience. Merci d'avoir mis un commentaire !

Jenny

Jenny Le 06-03-2013 à 21:34

Entre le bien et le mal, il nous faut faire des compromis et trouver la bonne mesure comme la bonne distance. N’est-ce pas cela l’expérience ? Entre trop et pas assez, on finit par savoir où se situe la frontière. C’est une très belle réflexion que celle que tu as sélectionnée, Vincent. Elle permet en peu de mots de nous éclairer sur bien des maux. Et c’est ainsi, que chacun apprend qu’en toute situation, l’équilibre est ce vers quoi nous devons tendre tout au long de notre existence.

Fatima

Le 06-03-2013 à 18:49

Je dis que c'est un grand philosophe, Schopenauer, il a effectivement raison ! Je ne peux que partager sa conception de la relation entre les humains ! Merci pour cette chronique Vincent !