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Lettre à Alexis - Vers inédits - Commentaires

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Gesteur Mohamed

Gesteur Mohamed Le 03-01-2019 à 13:54

Passionnant et surprenant. Quel homme, fusse Zola.

Jenny

Jenny Le 28-11-2012 à 21:15

« L'humilité est le contrepoison de l'orgueil. » Voltaire

Jenny

Jenny Le 28-11-2012 à 20:56

A chacun sa vision de l’humilité, ma chère Vony !

Jenny

Jenny Le 28-11-2012 à 20:38

Un trophée pour le commentaire de Vony !
Il faut reconnaître que les grands Auteurs portent haut une qualité essentielle : l’humilité.
C’est probablement la qualité qui m’émeut le plus.

Jenny

Jenny Le 17-07-2012 à 0:44

Merci d’être passée, Paradise, je sais que tu ne chômes pas non plus en ce moment !

Paradise

Paradise Le 16-07-2012 à 16:42

Quelle belle humilité au regard de ses œuvres mémorables ! Après tout, ne faut-il pas avoir l'âme d'un poète pour saisir et retranscrire avec tant de sincérité et de vérité les injustices vécues à cette époque par bcp. Merci pour ce partage et cette bio très complète sur ce grand homme que fut Zola.

Jenny

Jenny Le 16-07-2012 à 1:02

Alexandrine a su composer et s’est occupée aussi des enfants de Jeanne, décédée 11 ans avant elle, alors qu’Alexandrine avait 28 ans de plus ! L’épouse de Zola a financé les études de médecine de Jacques et a respecté les volontés de son époux. Les enfants ont œuvré pour la mémoire de leur père qu’ils vénéraient. C’est une très belle histoire d’amour, extrêmement touchante qui force le respect.
Mais zola décédé à 62 ans, n’aura pas suffisamment vu grandir ses enfants qu’il chérissait tant. Les descendants ont publié la correspondance de Jeanne et Zola. Finalement, Zola aura aimé, avec autant de passion, deux femmes bien différentes. Si Alexandrine avait pu être mère, son destin aurait été différent…

npai

npai Le 14-07-2012 à 15:41

Je pense que tu lui a bien rendu honneur, également à travers la bio que tu as tissé. Je l'ai lu avec plaisir, d'ailleurs cela m'a rappelé que l'histoire de sa femme m'avait beaucoup émue, en lisant ce que tu as écrit ce ressenti m'est revenu, quelque chose m'avait touché, cette acceptation douloureuse et cette abnégation dont elle a du faire preuve! Il y a quelque chose qui force l'admiration d'autant plus dans cet espèce de triangulaire! Allant jusqu'à faire le nécessaire pour que les enfants portent le nom de leur père. Bref on découvre effectivement que derrière les grands hommes ( sauf sur ce coup là :p nan mais oh!) se cachent des grandes femmes!

Jenny

Jenny Le 14-07-2012 à 0:33

Ce n’est pas facile d’offrir un fauteuil à un Auteur comme Emile Zola, en lui rendant honneur. J’ai pensé que lui laisser la parole était encore ce que je préférais, finalement. L’extrait du poème est adressé à son ami d’enfance, Paul Cézanne. Je suppose que le ton employé est aussi celui de leur complicité. Ils sont restés amis et solidaires jusqu’en 1886. Je suis contente si tu aimes les surprises, j’essaie de me surprendre et quand je le suis, d’une certaine façon, je me dis : ‘‘tiens, ça mérite d’être partagé’’ !
C’est un peu le but de cette rubrique, aussi ! Merci Claire d’avoir exprimé ton sentiment.

npai

npai Le 13-07-2012 à 8:48

Dans ce que tu dis Jenny j'aime bien le fait de partir également à la recherche du personnage qui se cache derrière les lignes, le contexte permet parfois de cerner des choses que l'on retrouvent ensuite dans les écrits, on tient parfois ainsi la clef de la motivation de ce qui a été couché sur le papier. Et puis il y a aussi parfois l'admiration goulue qui nous pousse à la curiosité, et il me semble que l'on arrive ainsi à mieux cerner certaines choses...
J'ai bien aimé la lecture de cette lettre, le regard que Zola porte sur lui même et la poésie en général, regard intéressant qui me semble juste (tel que je l'ai compris) la forme ne suffit pas, le fond doit être percutant et exprimé quelque chose de fort, c'est ce qui transcende la forme. Ce qui fait pour ma part, que la liste des poètes qui me touchent est assez restreinte, et que dans notre contexte à nous, je trouve le terme de poésie souvent bradé. Mais bon je m'égare ^^
Je trouve comme Emma' sa façon de s'exprimer malicieuse, et j'y vois une certaine raison puis le courage toujours dans la forme dont il exprime son opinion.
J'aime beaucoup dans tes partages le côté surprenant et hors des sentiers de ceux ci.

Jenny

Jenny Le 13-07-2012 à 1:11

En effet, j’aime beaucoup l’idée de découvrir avec un œil curieux l’être qui se cache derrière la plume. L’écrivain estimé par un ami et l’écrivain s’adressant à l’un de ses amis. C’est une approche qui permet, je pense, de distinguer l’homme de l’auteur. Comme tu l’as observé, cette démarche n’est pas un hasard. On a tous lu, certaines des œuvres d’Émile Zola, mais connaître l’homme, est, peut-être, encore bien plus passionnant. Enfin, c’est mon opinion, car la vie des grands Auteurs me passionne depuis toujours. Je suis agréablement fascinée par cette belle humilité qui fait d’eux, d’éternels humanistes ! Zola, en poète… je crois qu’ils l’ont tous été. Modestement ou confidentiellement, mais poète à un certain moment de leur existence. Merci Amélie pour cette petite discussion toujours sympathique.

Emmalys

Emmalys Le 13-07-2012 à 0:36

J'ignorais que Zola écrivait des vers et quoiqu'il puisse en dire, il a dû s'y consacrer un certain temps. Huit à dix mille, c'est quand même un sacré chiffre. Remarque, de la part de l'auteur des Rougon-Macquart, ce n'est pas très surprenant ^^.
On sent qu'il y a quelque-chose d'infiniment personnel dans ces écrits, un regard tendre et nostalgique sur ces vers de jeunesse qu'il accepte pourtant de partager. J'aime beaucoup celui qui est présenté où l'on découvre une plume malicieuse qui ne se prend pas au sérieux mais déjà pleine d'esprit.
J'aime également le cheminement que tu nous proposes, de (re)découvrir Zola par l'oeil de Maupassant, puis par l'auteur lui-même à travers un courrier privé. L'humilité qui transparait dans cette lettre a quelque-chose de touchant, qui ne laisse pas indifférent.
Merci, Jenny pour ce joli partage !