Il y a la plume, le pinceau, les notes d'un solfège, la glaise ou l'albâtre d'une sculpture, des langages qui complètent l'esprit et le coeur.
Il y a un endroit où peindre des paysages que donnent les couleurs, devient un besoin.
Il y a un voyage qui attend les mots qui racontent la houle et la foule des émotions qui nous submergent.
Il y a la musique qui est ce langage qui perfuse l'âme.
Marcel Proust cherchait Guermantes, entendait la sonate de Vinteuil, rejoignait Balbec, écrivait Combray.
Je cherche sans savoir ce que je cherche mais je pense que c'est moi-même que je cherche.