J'aurai grandement aimé ne pas avoir besoin d'écrire pour me sentir mieux ; mais quand la désolation vous gagne, on s'accroche de notre mieux à tout ce que l'on peut. Et moi, ça a été mon stylo plume ainsi que mon ballon de foot.
Mes textes ne respireront pas toujours la joie, mais toutefois, j'espère que ma gaieté passée ressurgira avec force et résistance...
Ah, au fait: je m'appelle Elliot !