Les yeux de la bête - Commentaires

Valentine la Muse Le 06-05-2019 à 16:30

Merci Franck. C'est vrai qu'il existe des femmes mais on a toujours du mal a associer cette violence à quelque chose de féminin. Merci pour votre commentaire. Je suis touchée que ce poème vous plaise.

SLuna Le 28-04-2019 à 17:20

bonjour Valentine. quand fuir ou rester ne sont plus des choix que l'on peut faire, quelle autre voie peut-on alors choisir ? peut-être celle de prendre l'offensive le premier ? mais là, c'est le soldat qui parle... j'ai croisé la route de ces hommes dont vous parlez... et je ne pense pas leur avoir laissé un très bon souvenir :-) je préciserai qu'il existe aussi des femmes qui sont des perverses narcissiques (pour rééquilibrer un peu le débat :-)). pour en revenir à votre poème, les images que vous nous offrez sont toujours aussi fortes et c'est ce qui est plaisant dans votre manière d'écrire... des images directes et qui vont à l'essentiel. amicalement. Franck

Wolfgang Warren Le 08-04-2019 à 0:12

Bonjour Valentine la Muse, très troublant ce poème dans lequel la narratrice semble être la proie d'un pervers narcissique. C'est un poème sulfureux qui semble presque sans issue et qui m'a mis mal à l'aise ; c'est terriblement évocateur et bien écrit. A bientôt, W.W.

Ancolies Le 03-04-2019 à 16:45

Perversion, séduction, on dirait que vous pourchassez toujours les mêmes démons. Je trouve votre position ambigüe. Votre texte me fait penser à la chanson de Cabrel "Leïla, si tu voyais ses yeux quand elle voit s'approcher les chasseurs..." Très belle chanson que je vous recommande.

Valentine la Muse Le 03-04-2019 à 11:07

Merci à toutes et tous pour vos commentaires. Je crois que c'et le triangle de Karpman qui m'a inspiré cette fois-ci... comme souvent en fait (le monstre II) avec les 3 facettes : Bourreau, sauveur, victime... En effet Hahn, c'est bien un PN qui est représenté par ses yeux. Merci Unpuis pour votre analyse. J'aime ce que vous écrivez sur le fait que la proie ait des sautes d'humeur et doit dans un état perpétuel de confusion. Et si la proie aide c'est qu'elle se sent appelée par ce regard qui n'est qu'un piège. Et oui Nomal'sland quoi de mieux qu'un retour au berceau de la mythologie pour exprimer nos travers psychologiques. L'archer, je n'avais pas pensé à Dracula... Mais maintenant que vous le dites, peut-être qu'un PN n'est rien d'autre qu'un vampire.

Nomal'sland Le 02-04-2019 à 22:45

Re bosnsoir Val, Pour moi ce poème fait écho à "passager" que je viens de lire et me pose le même questionnement, en y ajoutant de manière plus prégnante l’incarnation du démon intérieur. Je dois avouer que j'apprécie plus encore ce poème que le précédent, peut être par sa forme " qui suis je" et l' essence mythologique qui s'en exhale , ouvrant la voie à de multiples interprétations.

Unpuis Le 02-04-2019 à 21:43

Un poème que j'ai presque peur de comprendre... J'y vois ici le tableau d'une relation à double tranchant, où l'un, la bête, fait de sa compagne sa proie, et même sa victime, qui fuit mais ne peut oublier son amant... Elle a des sautes d'humeur, reste lunatique, et par moment, se sent amoureuse, puis en danger... Elle le fuit donc, et ne sait comment changer les choses. Elle veut aider son tortionnaire, mais, hey, comment faire, et comment y survivre ...? Voilà qui a de quoi provoquer la chaire de poule. J'aime bien, tout de même, la façon dont vous avez dépeint cette histoire (si je ne me suis pas complètement gouré, on se l'avouera!) avec des mots forts, et qui cachent tant...Merci pour ce partage!

Régis Barnier Le 02-04-2019 à 16:53

un texte énigmatique, j'y vois dans le jeu de la séduction, l'hésitation à franchir le pas. Joliment tourné !

Hector. Le 02-04-2019 à 15:40

Bonjour, j'ai bien aimé votre texte qui m'a un peu fait penser au conte de Dracula. A bientôt

SandyC Le 02-04-2019 à 13:51

Bonjour. Un texte énigmatique je trouve, que l'on ne comprend pas totalement à la première lecture, mais il en n'est pas moins agréable à lire. Merci pour ce partage. Bonne journée, Sandy.

Hanh Le 02-04-2019 à 11:46

Un poème qui sent le soufre et qui fait vraiment froid dans le dos quand on a connu un PN. Merci pour ces quelques vers en toute légèreté et avec cette gravité qui convient. Hanh

Elea Laureen Le 02-04-2019 à 0:58

Bonsoir Valentine, voilà une poésie étourdissante ! Je l'ai lue deux fois pour essayer de la comprendre ... Qui est la bête ? Un texte étonnant, intense ! Très bien écrit et qui questionne ... Merci pour ce très beau partage, belle et douce nuit, amitiés, Lou