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La Grande Misère de la France - Commentaires

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Ancolies

Ancolies Le 16-12-2023 à 10:16

Bonjour Alain. Je ne connaissais pas du tout ce poète, pas plus Heinrich Heine. Ce poème très noir est très fort visuellement, chaque quatrain apportant son lot d'images choc. Mon préféré est"Il perd son sang par ses fontaines..." Aujourd'hui on pourrait écrire un poème avec ce même titre mais les raisons en seraient différentes. Merci pour cette découverte.

SLuna

SLuna Le 24-03-2019 à 16:34

je ne connaissais pas Ivan Goll et son oeuvre... je découvre un poème fort de par son atmosphère et les images de la nature et de l'histoire astucieusement détournées. placé dans le contexte de son époque, ce texte est un joli chant partisan. merci à toi pour cette belle découverte Alain. amicalement. Franck

Evzone

Evzone Le 30-09-2016 à 10:01

Belle-Hélène, merci d'avoir lu ce poème d'Ivan Goll et surtout de l'avoir apprécié à sa juste valeur car à mon avis il est imprescriptible.Bonne journée, Alain.

Belle-Hélène

Belle-Hélène Le 27-09-2016 à 18:38

Je ne connaissais pas ce texte, ni l'auteur. Raconter la misère de la France avec un si beau poème, c'est assez...perturbant. Mais ça me permet de retenir le fond et la forme. Merci de me l'avoir fait découvrir :)

Evzone

Evzone Le 17-09-2015 à 9:43

Christian, Fanch, cevenol, Catherine bonjour. Merci d'avoir ressenti comme moi toute la profondeur et l'angoisse qui ressortent à la lecture de ce poème. J’ai découvert Y. Goll un peu par hasard en étudiant la littérature allemande. Ce poète bilingue français-allemand a su de façon remarquable décrire les horreurs du champ de bataille et surtout du fait de sa culture germanique a senti avant l'heure arriver la montée du nazisme et de l'antisémitisme.
Il a beaucoup de similitudes avec Heinrich Heine, (1797- 1856), grand poète romantique allemand, qui comme lui, est mort à 58 ans.
Je trouve particulièrement émouvant l'extrait que j'ai reproduit en fin de sa biographie:
«Je n'aurais pas duré plus que l'écume
Aux lèvres de la vague sur le sable
Né sous aucune étoile un soir sans lune
Mon nom ne fut qu'un sanglot périssable.»
Excellente journée à tous. Alain.

Cathou inafrica

Cathou inafrica Le 16-09-2015 à 23:42

Merci Alain pour ce texte. Je ne l'ai pas relu depuis les bancs de la fac. Il est très fort. Il est très puissant. Il fait suite aux mots de mon poète et je t'avoue que je suis toute chamboulée par ce que je lis ces jours ci. Merci beaucoup pour ces lignes. Catherine

cevenol

cevenol Le 16-09-2015 à 21:35

Merci infiniment Alain pour ce texte terrible,qui porte en lui toutes les horreurs et les deuils des guerres qui ensanglantèrent notre histoire,et qui dramatiquement perdurent de par le monde,comme nous avons l'extrême tristesse de le constater de par l'actualité...Merci pour cette lecture incitant à la réflexion. Noel.

Montagnon

Montagnon Le 16-09-2015 à 19:15

Les images sont fortes... Aujourd'hui ce n'est plus la France qui saigne mais le Monde. La mondialisation c'est malheureusement ça aussi. Czerny-Christian vient de l'écrire magnifiquement. Merci de nous avoir fait connaître ce poète qui repose apparemment entre Chopin et ma propriété du Père-Lachaise. Mais je ne sais s'il participe aux recherches sur "le théorème du Triangle " (lire ma nouvelle qui porte ce titre) :-) Fanch.

czerny31

czerny31 Le 16-09-2015 à 15:49

Un grand merci pour ce superbe texte que je découvre... il transpire de vérité et d'angoisse et est porteur de message aux futures générations... Souhaitons qu'elles l'entendent. Christian