Connexion : supprimer Ou

Texte sans prétention pour chéri... - Texte court

Texte court "Texte sans prétention pour chérir l’émulation" est un texte court mis en ligne par "Lucky3"..

Venez publier un texte court ! / Protéger un texte court

 

Texte sans prétention sur le sport pédestre

d655c8d65caf236192b52a0813cc5a61da0e266c.png

On court pour le plaisir,

On court aussi pour s'aguerrir

Certains courent pour se prouver qu'ils sont les meilleurs,

D'autres courent "simplement en amateur",

Il faut mieux aller courir, quand on vient de "passer un mauvais quart d'heure ".

Il faut mieux aller courir, quand on est obnubilé par ses propres malheurs.

Certains coureurs font partie de l'élite, certains coureurs font partie de "la fine fleur",

Il y a des belles femmes aussi qui courent, certaines ont une beauté éclatante, j'ai envie de les complimenter, j'ai envie de les couvrir de fleurs.

Mes amitiés aux coureuses du club d’athlétisme qui esquissent un sourire inattendu, leur sourire me met du baume au cœur,

J’apprécie de faire un footing avec une amie du club, mes soucis s’évaporent durant l’entraînement, et pareillement mes rancœurs.

Il faut courir sans trop se poser de questions,

Mais je préfère ne pas courir quand j'ai les "jambes en coton".

Par contre il est fortement indiqué de courir quand on se fait trop de "mouron",

Le plein air évacue le stress et c'est beaucoup mieux que de tourner en rond!!!

Il faut à tout prix éviter de succomber au dopage,

On devient prisonnier, selon moi, c'est comme si on se laisse prendre en otage!!!

Il faut rester zen, en laissant passer l'orage,

D'ailleurs, courir sous la pluie fine ou torrentielle, ça rend plus sage.

Néanmoins, il ne faut pas être sage comme une image,

Mais courir en restant indignés par la connerie humaine tout en évacuant sa rage.

L'échauffement doit se faire progressivement, et viens ensuite la partie plus difficile, et la montée d'acide lactique,

Lorsque je cours en plein soleil, la souffrance relative est mêlée de satisfaction, car pour moi, c'est aussi un sport ludique.

Courir à bonne cadence dans la forêt, ça me revitalise,

J'aime entendre le bruit du vent dans les feuillages, ça me tranquillise.

La course en compétition, c'est un moment particulier, où l'adrénaline est à son pic juste avant le départ,

Les coureurs se bousculent dès le top départ, pour ne pas prendre du retard.

Les premiers virages arrivent et la foule des coureurs devient moins compacte,

J'avance tant bien que mal et les muscles se contractent.

Je ressens comme une sorte d'empressement d'en finir,

La jouissance est mêlée à de la souffrance, c'est difficile à définir.

Quand vient le moment opportun, on doit agir, ou, selon l'expression : "Quand le blé est mûr, on le fauche",

Il faut absolument que je double un maximum de concurrents sur la gauche.

Les concurrents sont comme le flot de la marée montante qui se déchaîne,

Les faut les battre, il faut se battre contre soi-même, libéré de ses chaînes.

Il faut parfois serrer les dents, se faire violence, pour arriver à gagner quelques places,

Je pense à la ligne d'arrivée de cette course de 10 kilomètres, et à manger une bonne glace.

Il faut aller de l'avant sans s'occuper des concurrents qui courent dans mon dos.

Il ne faut pas se laisser distraire par les passants qui bavardent et par les badauds.

Je ne veux absolument pas essuyer un affront,

Je reste concentré dans ma bulle, préférant essuyer la sueur qui perle à mon front.

Je me motive en rêvassant à mon amie qui pourrait venir m'encourager.

Cette rêverie peut être le tremplin de ma réussite, en fin de parcours je me sens ultraléger.

A l'horizon, je vois la ligne d'arrivée,

Pour finir pas loin du groupe de tête, je dois absolument m'activer.

Je franchis la ligne d'arrivée parmi les meilleurs,

Je remercie le ciel, c'est un vrai bonheur.

Certains, le Dimanche matin, ne font rien, font la grasse matinée, vont "cueillir des

pâquerettes",

D'autres préfèrent courir, ils "s'accrochent au cocotier", et finissent la course en tête.

Après l'arrivée et après l'effort intensif, on se relâche soudainement, on se fait enlever son dossard par des bénévoles et on se faufile entre les coureurs en sueur, jusqu'au stand de ravitaillement,

C'est un soulagement, après s'être donné à fond, après avoir repoussé ses propres limites, de reprendre des forces tout en partageant chacun son expérience de course avec les autres coureurs, amicalement .

Après l'effort, le réconfort, avec au programme, une bonne bière sans alcool, ou pour moi un grand verre de jus d'orange offert gracieusement c'est suffisant, et une bonne douche, sans aucun doute, qui "requinque".

En conclusion, il faut partager des bons moments entre amis coureurs, profiter de l'instant présent, TCHIN, TCHIN, TCHIN, ça trinque, ça trinque, ça trinque.

Ma satisfaction est à son apogée,

C'est un bonheur partagé.

Partager

Partager Facebook

Auteur

Blog

Lucky3

05-07-2020

Téléchargement

PDF Certifié Ebook gratuit
"Soyez un lecteur actif et participatif en commentant les textes que vous aimez. À chaque commentaire laissé, votre logo s’affiche et votre profil peut-être visité et lu."
Lire/Ecrire Commentaires Commentaire
Texte sans prétention pour chérir l’émulation appartient au recueil Le sport c'est la santé!

 

Texte court terminé ! Merci à Lucky3.

Tous les Textes publiés sur DPP : http://www.de-plume-en-plume.fr/ sont la propriété exclusive de leurs Auteurs. Aucune copie n’est autorisée sans leur consentement écrit. Toute personne qui reconnaitrait l’un de ses écrits est priée de contacter l’administration du site. Les publications sont archivées et datées avec l’identifiant de chaque membre.