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La Pinatelle du Zouave - Commentaires

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Deogratias

Deogratias Le 16-04-2024 à 22:04

Bonsoir Ted, merci pour ce très bienveillant commentaire. J'apprécie toujours quand les gens aiment me lire et me le disent...oui, nous avons bien besoin de nous ressourcer dans la nature en ce moment avec ce qui se passe dans le monde...A tout bientôt. Dans la joie de vous lire ...Sylvie.

Ted

Ted Le 16-04-2024 à 21:31

Bonsoir Sylvie, comme ce texte est joli et nous emmène dans une promenade apaisante dans une déclinaisons de toutes ces grâces. Il n'en manque qu'une : c'est la grâce de votre écriture. Agréable soirée Ted

Deogratias

Deogratias Le 16-04-2024 à 16:31

Bonsoir Ancolies, oui, mon coeur se dilate quand je suis dans la nature. J'ai écouté votre chanson. Joli jeu de mot en effet...Forêt dépeuplée..un seul hêtre vous manque...C'est bien trouvé. Vous aimez bien jouer avec les mots. C'est un talent particulier chez vous. Merci d'être passé me lire...A tout bientôt. Sylvie.

Ancolies

Ancolies Le 16-04-2024 à 15:11

Encore un joli texte Deo avec cette poésie qui vous coule de source sur cette forêt qui vous est si chère. J'en connais moi-aussi une, de forêt, désolée celle-ci, la pauvre. Per que ? https://www.youtube.com/watch?v=dxMSo16fwpQ

Deogratias

Deogratias Le 16-04-2024 à 5:59

Merci David pour votre retour. Cette promenade fut trop brève à mon goût mais j'espère bien renouveler cette escapade dès que ce sera de nouveau possible. Je me lève à l'instant. Déjà malade mais comme vous quand je repense à cette sortie en forêt, je me dis qu'en effet, rien n'est plus beau, ni plus apaisant, que le silence de la forêt. Loin de la ville...Tagada vient de se réveiller aussi. Il est déjà en forme. Prêt à croquer la vie...et un rouleau de papier wc que j'ai trouvé hier soir au beau milieu du salon ! LOL...A tout bientôt David. Merci pour votre fidélité. Sylvie.

Benadel

Benadel Le 15-04-2024 à 23:25

J’ai pris avec grand plaisir cette pause café en votre compagnie, car votre promenade en forêt, chère Sylvie, y est décrite non seulement avec poésie mais aussi avec la délicieuse frénésie littéraire d’une amoureuse des bois qui sont venus vous extraire de la vie citadine et y mettre l’apaisante sourdine. Puissent les arbres des prairies nous plonger dans cette euphorie qui nous endimanche face aux manches bruyantes des cités vacillantes sur les solitudes mortifiantes. Mes amitiés. David