Deogratias Le 09-05-2024 à 5:13
Bonjour Laurence, c'est la première fois de ma vie que j'écris un poème d'amour de ce style très sensuelle. Mais j'ai voulu m'y risquer car la chanson de Jean Ferrat et sa mélodie a quelque chose de très pure et d'enjouée...J'ai osé et j'en suis contente...Bonne fin de semaine à toi. Sylvie.
Elea Laureen Le 08-05-2024 à 23:08
Bonsoir Sylvie, quel joli poème pour parler d'amour quand les sentiments riment avec toujours ! C'est vraiment très beau ma chère amie et cette chanson est si belle ... Bravo belle osmose :) Merci pour cette agréable lecture, douce soirée, bisous, Laureen
Deogratias Le 07-05-2024 à 15:23
Bonjour Ted, merci pour votre compliment. Oui, l'amour n'est pas que des grands sentiments, il s'incarne dans la chair et dans l'âme en un seul et même mouvement. C'est pourquoi la vie sexuelle n'est pas un sujet anodin et c'est aussi pourquoi les blessures affectives sont si nombreuses de nos jours...Bien à vous. Sylvie.
Deogratias Le 07-05-2024 à 15:21
Pas grave Ancolies. C'est surtout un poème pour illustrer la chanson très sensuelle de Jean Ferrat, très peu connue. A bientôt. Sylvie.
Ted Le 07-05-2024 à 14:25
Bonjour Sylvie, bravo pour ce joli poème, ode à la vie, où il convient d'y plonger tout entier. Si l’amour peut être courtois, il est aussi le lieu d’une communion charnelle. La chanson sensuelle de Jean Ferrat s'associe à merveille avec votre poésie un tantinet libertine! J'ai beaucoup aimé. Alors profitons-en pour aller danser et goûter à l'amour cerise!
Ancolies Le 07-05-2024 à 12:56
Bonjour Forêt. Ne m'en veuillez pas, j'ai une sainte allergie aux poèmes d'amour, même si je reconnais que le vôtre est fort bien tourné. Pourquoi cette allergie ? Il y en a tant et tant probablement, dont moult sont plus niais les uns que les autres. Je vais aller lire Les yeux de Mona qui j'espère m'inspirera plus.
Deogratias Le 07-05-2024 à 11:49
Bonjour David, merci pour ce merveilleux commentaire...L'amour est toujours un don du ciel et toutes nos blessures et difficultés viennent de son manque..A bientôt David. Sylvie.
Benadel Le 07-05-2024 à 9:52
Chère Sylvie, j’admire ce poème qui prend l’amour à bras le corps. Rendons grâce à cet amour qui tel le mimosa symbolise le réconfort. L’amour est le baron du Ciel ayant en horreur la chanson partielle qui tourne en rond. L’amour est entier, et ne se contente pas de l’amitié. Mais suffit-il de donner la main à l’amour pour que les sentiments divins nous aident à traverser le ravin des jours. Puissions-nous donc une fois pour toutes faire connaissance avec cet amour qui donne naissance à cette existence nous permettant de vivre de manière intense, et loin des idées malsaines mettant l’amour hors scène. Voilà, chère Sylvie ce que m’ont inspirés les vers que j’ai adorés. Mes amitiés. David
Deogratias Le 07-05-2024 à 5:19
Bonjour Arthyyr, merci pour votre commentaire. Je vois que vous êtes très cultivé, ce qui n'est pas mon cas. Maheureusement. J'admire ce que vous venez d'écrire..."une page entièrement blanche. La liberté totale de s'aimer dans l'infinie profondeur de l'intimité". Merci pour ce retour. Je ne connais pas le livre dont vous parlez mais je suis heureuse que mon petit poème vous ai ramené à une référence littéraire que vous appréciez. Je n'ai dormi que deux heures cette nuit, la journée va être bien difficile...Dieu merci, Tagada fera le pître et cela m'aidera..Bonne journée à vous. Sylvie.
Le 07-05-2024 à 5:14
Bonjour Sylvie, je ne peux pas m'empêcher de penser, en lisant votre texte et en écoutant cette chanson très sensuelle, à ces quelques mots de l'Enchanteur de Barjavel "A l'intérieur de cette page blanche, Guenièvre et Lancelot s'aiment" suvis d'une page entièrement blanche. La liberté totale de s'aimer dans l'infinie profondeur de l'intimité. Merci pour ce très beau texte et ce partage musical. Pierric
Vous devez vous connecter pour voir les commentaires
Le Michou Le 09-05-2024 à 15:45
Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. À une passante Poète : Charles Baudelaire