Du hasard au papier, il n'y a qu'un pas.
De la fleur à l'orage, il n'y a qu'une vie.
Du loup à la lune, un long cri.
Avortée du bonheur,
Je conterai les pleurs
Mes mots comme un miroir
D'un monde qui vire au noir.
Moi c'est Marion,
Uune louve aux dents de lait,
Qui n'arrive pas à se satisfaire
Des biberons de la télévision.
...S'en va voir si loin des barriéres,
Si son appétit serait pas mieux comblé.