Bonjour, je me prénomme Karine (attention ! je tiens au "k" -hahaha-).
Il y a toujours une grande part de vérité dans mes écrits : soit ils me concernent, soit ils concernent des êtres qui me sont chers. Je peux être prolixe sur une journée et rester des semaines sans rien écrire. J'avoue que mes morphèmes versent souvent dans le pathos ou le drama et que je vois le verre à moitié vide, plutôt que à moitié plein. Mais c'est ainsi.
L'écriture m'arrache souvent des larmes voire des sanglots car je vis chacun de mes mots. Ils me pénètrent, me poignardent, me transcendent, me mettent en joie, m'abattent. En fait, ils sont moi, la vraie moi, sans fard. C'est certainement le seul moment où je laisse tomber le masque que nous impose la société, le regard des autres.
Je ne dis pas que ces écrits sont beaux, ils sont simplement le reflet de la réalité, ma réalité ; les choses vues, aperçues, etc.
