Poèmes en ligne - Bibliothèque

Poème

Mon ange, Depuis que tu es entrée dans ma vie, Je me sens une nouvelle personne. Ma vie a changé de direction, Mes peines sont devenues des chants D'allegresse, Mon coeur ne fait que chanter des chants D'amour à ton égard, Tu es celle qui m'a donné un jour un nouvel espoir, Une nouvelle raison de vivre, Une chance de croire à nouveau à l'amour , Grâce à toi je sais ce que c'est que le vrai amour Tu es ma passion, mon essentiel Ma raison de vivre, mon ange Jamais je ne t'échangerai contre aut...

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A l’aube d’une révolte Et à la fin d’une guerre Au début d’un amour Comme à l’aurore du jour Dans les yeux des enfants Et la nuit qui descend Elle est là, toujours présente Elle s’embusque, elle nous tente Puis réapparait soudain Pour disparaitre enfin. Tu la trouveras sur la route Quand tu auras des doutes Ne pas savoir quel chemin Est celui de ton destin. Elle est belle et limpide Mais parfois trop versati...

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Pleine est la lune, plaine est mon corps Sans tes bras qui réchauffaient mes aurores… Mon cœur en orbite est si creux, si triste… Tu étais mon amoureux, mon alchimiste ! Tu étais le soleil qui me révélait au monde ! Hélas, je ne suis plus qu’une ombre blonde… Livrée aux nuits des sommeils en regard De nos abîmes, disputes et retards, Je me contemple dans ces aphélies, En point de rupture dans notre lit Couvert de toutes ces météorites Qui brûlent mon âme de névrites. Nous y avons pourtant cré...

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À lire avec humour et légèreté. En mai fais ce qu'il te plaît Toi, joli mois de mai, quand donc reviendras-tu ? Avec tes jours fériés et tes "ponts suspendus" Accrochés au printemps à défaut d’autre chose Pour chasser la noirceur et ne voir que les roses. Attention cependant, voici les saints de glace : Saint Mamert, Saint Servais mais aussi saint Pancrace : Vecteurs inopportuns de quelques déceptions, Car il peut faire froid sans que nous le voulions. Bien joli mois de mai, te voilà revenu ;...

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. L'œil tourne en son orbite De gauche à droite, il passe de façon irrégulière Prenant appuie sur différents axes Plus ou moins espacé ils se confondent au loin Des images attirent ma rétine Ils s'y reflètent d'une et mille nuances Des couleurs sombres parsemées de lumières Ces taches lumineuses dansent Avant de s'arrêter en un axe Statique à mon regard Il s'imprime dans l'espace par un flot de lumière Un jet de couleurs chaudes noie mes yeux Coule dans mes veines S'intensifie au carrefour de...

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Oh peuple d’Afrique essoufflé au mépris de tes libertés, De tes terres d’ocre et de sang, de tes enfants affamés, Naîtrons les histoires fertiles, de ton identité en proie d’humanité, Au jardin de tes espérance ou tu réunis toutes tes fraternités. Tes rêves féconds au berceau d’argile et de lianes Découvriront ton antre parfumée au miel de tes savanes, Douce musique au crépuscule de tes sarbacanes Qui pleurent tes femmes enchaînées aux portes de ta Louisiane. Oh peuple d’Afrique malmené au c...

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? Où sont parties les fées des bois maudits , que sont devenus les lacs profonds où elle savait glisser entre algues et vert si doucement dans les nuits tombées de ses rêves ? Que sont devenus les noirs lutins respirations de ses sommeils, les gentils lutins cruels qui pansaient ses tristesses et ses peurs à coup de mots sécateurs ? Comment retrouver le chemin d'ailleurs où elle avançait en peur et en sûre compagnie des noirs de son cœur, le gris chemin bordé d'épais magmas frayeurs ? Partira...

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Malheur Immatériel Bourré, sans une once d'amusement, Plus proche, plus jumeau sans doute Du punk à chien crade et mourant Que du jeune cadre traçant sa route. Putain, quelle vie à chier, Travailleur, bosseur, pour quoi ? Du cercueil, dépasseront mes pieds, Après que j'aurais fait une crise de foie. Dépression, tourmente sans fin, À travailler, torture indéniable, Et attendre, jusqu'enfin La retraite et la mort oubliable. Idées banales, socio-gaucho, Bien-pensant, divorcé (deux fois), A voté ...

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DANGEREUSEMENT TOI Comme l’air du vent, Qui caresse mes membres, Ton souffle chaud, Fait frémir ma peau, Au son de ta voix, Mes deux montagnes s’exclament, De ton touché, Je reste paralyser, A l’arrivée de cette sensation, Qui me donne tant d’émotion, A en pleurer de douleurs, Qui me fait crier de bonheur. À TRAVERS TOI Sans penser à mal Quand je regarde tes lèvres, D’un va et vient, M’émoustillent, M’emmènent dans un autre, Un autre toi, Sans savoir ce pourquoi, Tu me mets dans cet état, Je...

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Il est arrivé là Il est arrivé là, un beau jour, dans ma vie, Comme un enfant malin, est entré, a souri, M'a regardée de loin, esprit libre et moqueur, Pour venir, pas à pas, apprivoiser mon cœur. Moi louve solitaire, épouse de la nuit, J'ai entendu son rire éclater dans un cri, J'ai hurlé à la mort et j'ai montré des dents, Armée, prête au combat contre cet imprudent. Cent fois j'ai repoussé cette intime évidence, Mille fois j'ai défié sa tendre bienveillance, On s'est battu parfois, j'ai g...

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Le dernier jour de l'été Vivre si simplement Gentillesse. Absurdité. Naïveté Tendresse. Amour. Toujours Maladresse. Absence. Elégance A présent la petite prairie Où les fleurs éclosent et je souris Pour une beauté sans nom D'un cou si long Etrangeté. Mystère. Eclair Jaillit du ciel azur Où mon âme fût lointaine des blessures De cœurs accablés Lors de la chaleur de l'été La fille au cou si long s'allonge près de la rivière Il n'y a rien à faire Qu'à contempler les nuages Mirage. Bougie. Magie...

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Bonjour toi, Attends ne pars pas ! On ne se connait même pas, Pourtant tu ne veux pas de moi. Je ne suis pas encore installé, Et déjà tu veux me rejeter. Tu as vu l'âge que tu as ? Plus personne ne s'intéresse à toi ! Laisse moi te tenir compagnie ! Permets moi de devenir ton meilleur ami. Fais moi une place dans ton coeur, et cela jusqu'à ce que tu meurs. Je sais que dans ta tête, Ce n'est pas tous les jours la fête. Alors laisse moi une place dans ton esprit, et je ferai tout pour que tu o...

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Si tu peux voir périr tes chères créations Sans répit rebâtir en joie et en sourire, Ou que la vie profère menace en tes actions, Sans émettre ni plainte, ni rage, ni médire, Si tu peux partager la douceur de l'amour, Sans t'adonner aux feux de la lubricité, Si tu connais la haine dont les autres t'entourent, Sans jamais exprimer cet élan abhorré, Si tu peux tolérer ragot, mauvaise foi, Tenir propos intègres empreints de vérité, Si tu peux rester humble, même en parlant aux rois, Porter à te...

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On est gobelins, orcs et trolls : On tue beaucoup, mais on picole ! Et croyez-moi sur parole, une bière Nous fait passer le goût de la guerre ! Souvent, on nous traite de sauvages ; C'est pas vrai ! Faut que vous tourniez la page, Après toutes les fois où on a pillé, Et foutu le bordel dans vos cités. Puis, autre gros amalgame pour moi et les copains, Non, on est parfois pas toujours les vilains ! C'est vrai que souvent on est des acolytes, Mais, bon sang, c'est une solde qui se mérite ! Bon...

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SI... Si tu étais réelle, Tu serais libre, Libre de grandir, Libre de choisir une autre victime, Si tu étais visible, Tu serais vulnérable, Vulnérable tout comme moi, Vulnérable tout comme eux, Si tu étais moins nocif, On n’aurait pu évoluer ensemble , Mais toi cancer, Toi qui t’incrustes, Toi qui te caches, Toi qui abime, Je ne veux pas de toi, Ils ne veulent pas de toi, Même si de ta naissance, Nous sommes tes créateurs, Pars. Au bout de mes doigts Je vagabonde sur mes lignes, Tel une gazel...

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LE PRINTEMPS, Avec ses Yeux d'Azur, Sa Bouche Fraîche, Son nez Frémissant, qui capte toutes les odeurs subtiles et délicates, des Fleurs qui s'éveillent, et celle de la terre, plus profonde et plus forte, Avec ses Mille Oreilles, qui s'agitent aux moindres froissements, aux doux chants des oiseaux qui s'appellent, Avec son Gros Ventre Rond, qui s'épanouit au soleil, Avec ses Petites mains pleines de bourgeons bourrus, griffus, aux bouts de ses grands bras, qui s'agitent, impatients, poussés p...

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Et si la poésie était au texte ce que le costume est à l’homme ? Et si la rime n’était que le vouvoiement d’une première rencontre ? Si tout cela n’était qu’apparat ? Laissons tomber les apparences pour nous concentrer sur l’élégance, Laissons aux charlatans le plaisir d’endormir ces manants. Et toi ? Oui toi ! As-tu déjà pris le temps d’écouter ce mendiant ? À l’allure pauvre mais au passé si riche. As-tu déjà eu la décence de croiser son regard ? En apparence hagard mais éclairé comme un p...

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Je suis le ver de la pomme, Pourrie entre la main des hommes : La connaissance est mère des maux De tous les adulateurs des prophètes faux. Je suis le corbeau rieur, Que les hommes accusent de malheur : Pour rejeter leurs piteux échecs, Rien ne vaut un oiseau métèque. Je suis le doré renard solaire, Titillant de mes rayons l'atmosphère : Mais voici qu'ils percent maintenant, Peut-être à cause de moteurs fumant ? Je suis la baleine léviathan, Doyen de plus antiques encore océans ; Je ne mange...

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Vibrent en moi mais se vident les songes Seule m'inspire la mélodie de Ravel Cette pavane pour une infante défunte Je suis si flou de toi, ma belle Que je te laisse mes mots, mes seules empreintes Sur ces quelques notes que je lui emprunte Dans une lointaine sphère temporelle. J'ai bien cru que s'était brisée l'épée Sur l'écueil impassible des remparts Et je m'incline, bien moins bavard En Don Quichotte, si loin de Dulcinée. Les couleurs d'une jungle philharmonique Et le noir et blanc du cli...

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Je ne suis qu'un être unique Et pourquoi je serais impudique Que serais je si pas ton indique Il ne te faut pas me lancer pic Je ne recherche pas infidèle Pourras tu m'être aussi fidèle Ma vie ne serait que courte Pourquoi pas te donner ma courbe Je nous souhaite parler sobrement Je le souhaite pour nous le moment Seras tu s'occuper dèmes reins Avec ces mots qui sont tous malin Voudras tu toutes mes dernières heures Le pourras tu rester dans mon coeur Peut être toi prochain amour Je suis prê...

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Ma reine, je t'ai nommé Mon monde, tu as été Mes rêves, devenus réalité La plus belle, je t'ai aimé Mon âme, je l'ai brûlé Pour réchauffer, tes bras désarmés toi et moi, telle était notre destinée Heureux, j'ai toujours été Ton sourire, j'en ai rêvé Te porter haut, je m'étais promis Toucher le ciel, et bien plus encore Sans limite, jusqu'à la mort Je me sentais complet, je me sentais fort Mais ma confiance, tu as trahi On s'était dis pour la vie, mais tout est fini Triste est mon sort, moi q...

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Lui Et si je t’offrais la plus belle des révérences, Serais-tu là, prête à dessiller ton regard bleu Pour accueillir enfin ces mots sans défenses Et y répondre en écho, pour un pas de deux ? Je suis las de nos coupés et pas chassés, De m’exercer à la barre de tes absences… Je nous rêve en continus développés, En pas de deux sur une scène éclairée... Avec tes lèvres toujours romanesques, Avec tes doux regards en arabesque… Lumière échappée sur nos corps emballés Lumière enfin sur nos esprits ...

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Dans une beauté multicolore se forment des réalités Différentes pour chaque humain dans leurs vérités Un bonheur en noir et blanc pour les non-voyants Une joie colorée pour ceux à l’amour omniprésent L’étincelle dans les yeux des enfants comblés de présent Peut se voir dans ceux des vieillards relatant des souvenirs d’antan Ô que la vie est belle pour ceux qui la regarde dans ce but Ô que la vie est triste peux ceux qui en veulent toujours plus Il n’y a pas de mal ni de bien pour nous les hu...

Poème

Des maux dégringolent de mon esprit Tendances rigolent à l'oubli S'envole te laissant étourdi Cet autre aux sentiments, te nuis Des mots déroulent à l'horizon De longs moments écrits d'émotions S'envole te laissant sans attentions Cet autre aux sentiments, addiction Démo d'envies soudaines t’emmène Des mots d'envies pleines Des maux cicatrisent en peine A l'arrache foutue aubaine Sans haine, je décris cet état d'âme Sans veine, coule cet amalgame Sous ma peau, des vers des flammes S'envole t...

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Le temps est devenu immobile . Plus rien n’a d’importance : Ni le temps que je dois attendre pour te lire, ni les mots gommés pour devenir muette et ne plus souffrir de ton absence . Le temps attend avec moi : Assoupis tous les deux, fenêtres fermées , portes closes, nous sommes en flottaison dans ce vide de toi, mon ami… Je t’oublie, pour mieux t’accueillir quand tes mots viendront me dire : Je suis revenu,je suis là. Et ton sourire posé sur la page, et mes mots réappris pour te dire que je ...